L’aide utile et l’aide inutile

La question de l’aide utile et de l’aide inutile est au cœur de la pédagogie Montessori puisqu’elle est au cœur du développement de l’autonomie, de la concentration et de la confiance en soi.

Il s’agit de réfléchir à l’intervention de l’adulte sur les actions de l’enfant.

Observer un enfant dans son processus de réalisation d’une activité, sans intervenir, n’est pas simple.

Nous avons l’habitude de proposer notre aide rapidement sans nous soucier de ce qui se passe dans la tête de celui qui cherche.

Cela nous renvoie à nos propres aptitudes autant qu’à notre volonté d’aider et de nous sentir utile. Cela nous renvoie également à notre désir que l’enfant réussisse et réussisse vite.

Mais si c’est nous qui orientons l’action de l’enfant alors ce n’est pas lui qui est acteur de son apprentissage.

L’enfant, à travers ses actions, construit sa propre réflexion et n’a pas besoin que quelqu’un vienne interférer dans ce processus.

Il tâtonne, il se trompe, il recommence, il se trompe encore mais trouve une solution et finalement parvient à ses fins. Toutes ces actions façonnent sa capacité d’analyse, mais également développent son autonomie vis-à-vis de la difficulté, enrichissent sa capacité à se concentrer et renforcent la confiance qu’il peut avoir en lui.

L’intervention, même ponctuelle, de l’adulte envoie comme message à l’enfant qu’il n’est pas capable d’y arriver tout seul. L’enfant sollicitera alors systématiquement l’adulte afin d’avoir son aval.

C’est l’aide inutile.

Quant à l’aide utile, elle apparaît lorsque l’enfant se trouve face à une impasse.

Cela nécessite donc de la part de l’adulte un temps d’observation. Cela peut engendrer de la frustration chez l’adulte qui voit l’enfant s’y reprendre à de très nombreuses reprises pour une tache qui semble évidente.

Un enfant qui répète quinze fois la même erreur n’est pas nécessairement dans une impasse.

L’énervement de l’enfant, sa propre frustration, peuvent être un bon indicateur du moment où il convient d’intervenir.

L’aide utile c’est alors le petit coup de pouce qui débloque la situation et qui permet à l’enfant de poursuivre sa réflexion.

En général, les enfants qui ne demandent pas d’aide n’en ont pas besoin. Ils ont simplement besoin de temps pour aller au bout de leur réflexion.

Quant à ceux qui sollicitent l’adulte, c’est à l’adulte de donner le minimum afin que l’enfant réalise le maximum.

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Gymnastique et travail (Maria Montessori, « Pédagogie scientifique tome 1 »)

« Il serait intéressant d’établir un parallèle entre les exercices musculaires que l’on fait faire communément aux enfants pendant les heures d’éducation physique et l’exercice musculaire nécessité par les divers « exercices de vie pratique » spontanément choisis et exécutés par nos enfants. On verrait alors qu’il s’agit d’une véritable gymnastique : c’est que les exercices de vie pratique ont tous un but intelligent attrayant, à l’époque de la formation et du perfectionnement de la coordination musculaire. Non seulement cela explique le succès de ces exercices auprès des enfants, mais cela fait sauter aux yeux leur valeur formatrice. On atteint, grâce à eux, une coordination des muscles entre eux, en même temps qu’ils aident l’enfant à créer cette coordination d’après le guide et sous le commandement de l’intelligence. Rouler un tapis, brosser une paire de souliers, laver une petite cuvette ou un plancher, mettre le couvert, ouvrir et fermer des tiroirs, des portes ou des fenêtres, mettre en ordre une chambre, ordonner les sièges, tirer un rideau, transporter un meuble, etc, sont des exercices où tout le corps est en mouvement, et où le mouvement s’exerce et se perfectionne peu à peu. L’enfant apprend aussi à mouvoir bras et mains, à fortifier ses muscles, plus que par la gymnastique ordinaire. Il ne faudrait toutefois pas considérer les exercices de vie pratique comme une simple gymnastique musculaire : ils constituent un « travail ». C’est le travail des muscles qui agissent sans se fatiguer, parce que l’intérêt est ranimé à chaque mouvement par la variété. C’est l’exercice naturel de l’homme qui doit avoir un but à atteindre quand il agit. Les muscles devraient toujours être au service de l’intelligence et rester ainsi à la disposition de la fonction unique de la personne humaine. Si l’homme est à la fois intelligent et musculairement actif, son repos réside dans l’activité intelligente, de même que le repos de tout être se trouve dans l’exercice normal de ses propres fonctions. Il nous faut donc offrir à l’enfant, dans l’ambiance qui l’entoure, des « moyens » pour exercer son activité, en se rappelant que la Maison des Enfants reçoit des enfants d’âges variés qui vivent ensemble comme feraient des frères et sœurs en famille et qu’ils ont besoin d’occupations différentes. »

Je tiens à rappeler que le mouvement est une des périodes sensibles de l’enfant entre 0 et 6 ans. Une période sensible est un laps de temps au cours duquel les enfants vont tenter de combler un besoin vital à leur développement. Il s’agit pour les enfants jusqu’à 3 ans du mouvement global de leur corps, alors qu’à partir de 3 ans, ils vont plutôt développer leur motricité fine. Cela reste un axe général. Certains enfants ont besoin d’un temps plus long que d’autres afin de se sentir à l’aise et de perfectionner leurs gestes.

C’est la raison pour laquelle le matériel de vie pratique est tout autant utilisé par les enfants qui arrivent à 3 ans que par les enfants de 4 ou 5 voire 6 ans.

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Ateliers de sophrologie (adultes)

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Faire un don

Comme chaque année, nous lançons une campagne de dons afin de récolter des fonds pour financer le matériel et les activités de l’année.

Nous remercions chaque geste, qu’il soit petit ou grand, qui nous permettra de continuer à dispenser une éducation variée et sans cesse enrichie à tous les Infatigables Explorateurs de notre école.

 

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L’autonomie et la confiance en soi

« L’amour d’une mère est ainsi : elle apprend à son enfant à marcher seul, sachant qu’un jour il pourra user de cette capacité pour courir loin d’elle » Maria Montessori (Éduquer le potentiel humain).

Le thème abordé ici est ce qui constitue la pierre angulaire de la pédagogie Montessori pour les enfants de 0-6 ans : leur offrir un environnement suffisamment sécurisant pour développer leur propre capacité à agir sur cet environnement par eux-mêmes. Confiance en soi et autonomie.

La base du processus est la confiance en soi.

Le nourrisson la construit à partir de la confiance qu’il peut avoir en son environnement. Celui-ci est constitué de ses parents, de sa famille, des adultes et des enfants qui interagissent avec lui.

À partir du moment où le nourrisson se considère en sécurité (physique, affective…), il n’a aucune raison de ne pas expérimenter ce que son corps et son esprit lui permettent petit à petit de réaliser de manière autonome. Et plus il s’aperçoit de ses capacités, plus il renforce sa confiance en l’environnement et en lui-même.

Cela semble facile mais l’équilibre est fragile.

Le dosage est délicat entre être trop ou pas assez présent, trop ou pas assez bienveillant, trop ou pas assez valorisant.

L’enfant a besoin de se sentir sécurisé mais parfois, à vouloir être trop présent, nous obtenons l’effet inverse.

L’enfant peut interpréter notre présence continuelle comme un signe de danger : « si elle est tout le temps là, c’est qu’elle doit me protéger et qu’il y a un danger contre lequel me protéger ».

Il peut peut également l’interpréter comme une défiance envers ses propres capacités : « s’il ne me laisse pas faire tout seul c’est que je n’en suis pas capable ».

Lorsque nous valorisons les actions des enfants, nous sommes également susceptibles de leur mettre une pression supplémentaire involontairement : « elle me dit que ce que je fais est bien et j’aime la sensation que cela me procure, je dois donc continuer à être à la hauteur, et si je ne le suis pas, peut-être ne m’aimera-t-elle plus » ou bien « et s’il ne me dit rien aujourd’hui, cela veut dire que ce que je fais n’est pas bien ou n’a pas d’importance ».

Parfois, la pression que se mettent les enfants vient d’une perception et d’une interprétation complètement erronées de ce que nous voulons leur transmettre.

Comment alors trouver un juste équilibre ?

Tout d’abord, personne n’est parfait et tant mieux. Nous ne pouvons pas toujours avoir le comportement idéal. Heureusement.

Si les parents ne sont pas parfaits, les enfants peuvent se permettre de ne pas l’être non plus !

Une des missions de l’éducateur Montessori est l’observation. J’ajouterai la discussion et le lâcher-prise.

Première étape : prendre un peu de temps pour évaluer la situation : comment réagit l’enfant face à ce qu’il fait ? Satisfaction ? Frustration ? Colère ? Tristesse ?

Cela dure-t-il deux minutes, cinq minutes, dix minutes ?

Cherche-t-il de l’aide ? Un regard ? Un soutien ?

Est-ce que je pense qu’il est utile que j’intervienne, ou pas ?

Deuxième étape : si j’interviens, je peux essayer de lui faire mettre des mots sur ce qu’il ressent sans y mettre mes propres émotions d’adulte, sans jugement de valeur, ni dans un sens ni dans l’autre.

Troisième étape : le lâcher-prise c’est en quelque sorte accepter l’émotion, ne pas la nier. Elle existe et nous savons qu’elle va disparaître au bout d’un moment.

Si ces moments où l’enfant ressent des émotions négatives sont inévitables, il nous revient de l’aider à trouver en lui la capacité à les compenser par de plus nombreuses émotions positives !

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La littérature jeunesse


Les livres présentés aux enfants entre 3 et 6 ans dans une ambiance Montessori doivent respecter certains critères. Parmi ceux-ci, le principal concerne la représentation d’un monde réel : outre les livres documentaires, il s’agit de proposer aux enfants des histoires d’animaux qui agissent comme de vrais animaux, ou bien des histoires d’êtres humains avec leur mode de vie d’êtres humains.

De même  :

– nous ne mettons pas de dînette à disposition en Vie pratique mais de vrais objets,

– nous aidons les enfants à mettre de l’ordre dans leurs perceptions avec le matériel sensoriel,

– nous abordons les mathématiques d’abord de manière concrète avec la manipulation des quantités.

Au cours du stade de développement de 3 à 6 ans, les enfants ont besoin de repères pour se positionner et faire la distinction entre le réel et l’imaginaire et cela leur complique la tâche si dans leur environnement, la distinction n’est pas claire.

C’est la raison pour laquelle lorsque nous abordons un livre qui ne correspond pas à nos critères, et il y en a beaucoup, nous nous attachons à préciser ce qui est du domaine de l’histoire fictive et non de la réalité.

De manière générale, nous tâchons de proposer aux enfants des outils pour décrypter le monde qui les entoure. La littérature réaliste y participe.

Cela ne dévalorise ni ne défavorise la capacité d’imagination des enfants, qui se construit à partir d’une réalité comprise, et qui nourrira la capacité d’abstraction.

C’est en 6-12 ans que nous passons à une littérature davantage axée sur la fantaisie, l’imagination, en parallèle aux activités qui développent la capacité d’abstraction. Cela fait d’ailleurs partie des périodes sensibles de cette tranche d’âge. Cela va de pair avec le deuxième degré, l’humour, l’ironie… qui sont des notions compliquées pour les plus jeunes et qui s’acquièrent petit à petit.

N’allons pas plus vite que la musique !

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Une autre école alternative : L’école des roseaux – Puy-de-Dôme

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La volonté, la répétition et l’épanouissement intellectuel

Dans les écoles Montessori, l’apprentissage passe par l’autonomie. Mais l’autonomie ne va pas de soi.

L’autonomie découle de la volonté de faire par soi-même et cette volonté découle de la confiance en soi et en son environnement. Cette confiance est elle-même alimentée par l’autonomie. Tout est imbriqué.

Que propose la pédagogie Montessori ?

Mettre à disposition de l’enfant des activités qu’il pourra choisir tout seul et manipuler tout seul mais surtout présenter au préalable ces activités afin de rassurer l’enfant et de créer un lien, un pont entre l’activité et lui, sans pression, en acceptant l’erreur.

Lorsque l’enfant aura compris qu’il n’a pas de crainte à avoir à expérimenter, il pourra se lancer dans la manipulation.

L’étape suivante pour lui est la répétition. Les compétences et les connaissances que nous proposons à l’enfant d’acquérir sont portées par des activités diverses afin qu’il puisse répéter ses manipulations et ses réflexions sur des supports différents.

Cette répétition nécessite toutefois la volonté de recommencer, de surmonter ses difficultés et donc la compréhension que l’effort à fournir débouche sur une plus grande satisfaction.

Notre objectif n’est pas de forcer les enfants à apprendre. C’est de leur montrer que connaître ou être capable de faire quelque chose ouvre la porte à une autre connaissance ou à une autre compétence.

C’est le chemin vers l’épanouissement intellectuel.

Certains enfants restent réfractaires à cet effort et n’envisagent le plaisir d’apprendre qu’à travers la facilité et l’immédiateté. On peut se demander si la pédagogie Montessori est alors adaptée à ces enfants.

J’ai tendance à penser que la base de cette pédagogie est de s’adapter aux enfants. Certains ont peut-être davantage besoin de temps et d’un cadre plus dirigiste et donc plus rassurant. À nous de nous adapter dans la mesure de nos possibilités, du temps qui nous est imparti et des contraintes institutionnelles qui pèsent aussi bien sur les familles que sur les écoles alternatives.

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Les enfants de 6 à 11 ans

La pédagogie Montessori nous enjoint à suivre trois axes qui permettent aux enfants de se situer aussi bien dans l’Univers que dans leur propre histoire, et qui leur donnent une orientation dans la vie, un sens. Tout un programme !

Le premier axe est « semer des graines ». La connaissance du monde qui nous entoure est parcellaire, imparfaite, emplie de doutes et de remises en question. Nous ne savons pas tout et notre objectif, en tant qu’éducateur, n’est pas de remplir la tête des enfants. C’est plutôt de semer le plus de graines possibles afin d’attiser leur curiosité. Avec toujours comme idée directrice le développement de leur autonomie et de leur indépendance d’esprit, nous les laissons fouiner, chercher, poser des questions, aller chercher les réponses, comprendre, douter. Nous initions le chemin de la connaissance, ils le parcourent et iront, nous l’espérons, plus loin que nous.

Le deuxième axe est « déterminer le Bien, le Mal ». L’idée est de les laisser également expérimenter par eux-mêmes ces notions, même si nous ne parlons pas de Bien et de Mal, mais plutôt d’actions néfastes et d’actions bénéfiques pour le groupe, de paroles blessantes, de sensibilité individuelle, de frustration non gérée. C’est un challenge quotidien. Tous les jours, nous discutons, nous essayons de faire émerger l’idée qu’ils ne sont pas seuls au monde et que leurs actions ou leurs paroles ont un impact sur l’autre, individuellement, ou sur le groupe.

Cela nous amène au troisième axe : « s’organiser pour collaborer ». Ils sont à un âge auquel le travail entre pairs est important. Plusieurs cerveaux valent toujours mieux qu’un. Nous surfons sur cette vague afin de les aider à construire une sociabilité bienveillante et efficace.

Nous tentons d’être des modèles pour eux mais nous ne sommes pas parfaits. Nous leur offrons donc simplement des clés. À eux de les utiliser pour s’adapter à une société qu’ils auront par la suite à faire évoluer.

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Le mélange des âges

Le mélange des âges est une des caractéristiques de la pédagogie Montessori, et ce, pour plusieurs raisons bénéfiques à l’apprentissage :

– Les plus jeunes observent ce que font les plus âgés. Ils peuvent ainsi se projeter sur ce qu’ils apprendront ensuite. Ils peuvent également absorber, en avance, ce qu’ils observent ou ce qu’ils entendent des activités.

– Les plus âgés sont valorisés par leurs connaissances et leurs compétences et plus enclins, par conséquent, à aider ceux qui en ont besoin. La collaboration est ainsi facilitée.

Le mélange des âges peut également avoir ses inconvénients lorsqu’un écart est plus important que ce qui est préconisé par la pédagogie Montessori.

La différence d’âge peut mettre en avant l’écart de maturité et l’écart entre les centres d’intérêt, ce qui peut engendrer des malentendus et des incompréhensions, voire des peurs.

Les plus âgés aiment, notamment, être confrontés aux histoires qui font peur, ce qui n’est pas forcément en adéquation avec la maturité des plus jeunes.

Ils sont en âge également de s’interroger sur la sexualité. Là encore, l’écart avec les plus jeunes peut être problématique.

Enfin, les pré-adolescents ont tendance à « jouer les adultes » et à provoquer en utilisant un vocabulaire vulgaire, dont ils ne comprennent pas forcément le sens.

C’est sans doute la raison pour laquelle les ambiances sont séparées entre celles accueillant les 3-6 ans et celles accueillant les 6-11 ans.

Ce n’est pas le cas dans notre école, pour des raisons logistiques.

Pourtant, cette difficulté du mélange des âges ne doit pas effacer tout son bénéfice.

D’une part, elle est abordée, comme tout ce qui concerne le développement social, par la discussion (d’un côté comme de l’autre, chez les plus âgés afin qu’ils prennent en compte les plus jeunes, et chez les plus jeunes afin qu’ils n’hésitent pas à faire part de leurs interrogations ou de leurs craintes).

D’autre part, c’est un apprentissage indispensable, qui leur sera utile au collège et au lycée, où, même si les élèves sont de même âge dans les classes, ils côtoient, à l’extérieur de l’établissent, pendant les récréations ou à la cantine, des plus âgés ou des plus jeunes.

C’est en apprenant aux plus jeunes à exprimer leurs ressentis que nous pouvons les armer pour faire face à des situations plus délicates, auxquelles ils pourront être confrontés plus tard, comme le harcèlement.

De la même manière, nous espérons que le dialogue que nous instaurons avec les plus âgés leur permet de prendre conscience au plus tôt qu’ils ne doivent pas profiter, abuser, de l’ascendant qu’ils peuvent avoir sur les plus jeunes.

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